Films

Description des films que nous produisons, et ceux dont nous avons les droits

NOTRE PRODUCTION :

« LA RONDE DES COLIBRIS » (COURT METRAGE) :

Remise du « Colibri d’Or » au maire de Fourchambault pour sa gestion sans pesticide de sa commune lors d’une journée sur le marché local.

« 12 COMMUNES EN ZERO PHYTO »  :

Témoignage d’élus et administrés de 12 communes de Bourgogne sur le besoin et leur ressenti suite à la suppression des pesticides pour leur mode de gestion de leur commune. Ce film comprend des séquences tournées en Franche-Comté.

Résumé :

Cliquez ici pour voir le film

DONT NOUS AVONS LES DROITS :


« LA GUERRE DES GRAINES »

Le fil du documentaire est dirigé vers l’idée que toute la filière semences et amélioration des plantes ne serait qu’au service de quelques grands groupes et ne travaillerait que pour une agriculture intensive aux nombreux impacts négatifs sur l’environnement et la biodiversité. Le seul objectif de cette filière « capitaliste » serait de priver l’agriculteur de la liberté d’utiliser ses graines sur son exploitation, et cela pour maximiser le profit de quelques grands groupes... groupes qui, de plus, sont liés à la chimie (Monsanto avec l’agent Orange, BASF avec les gaz utilisés par les nazis...). Cette filière n’aurait qu’un but, contrôler le marché des semences, comme elle le ferait déjà avec les OGM.

« SECRET DES CHAMPS »

Ce film illustre sans opposition ni polémique la manière dont les plantes cultivées s’associent, coopèrent, communiquent et cohabitent avec les êtres vivants qui les entourent : les insectes, les champignons du sol et les autres plantes.

Un film de Honorine Perino


« MANGER BIO C’EST BON POUR L’EAU »

Corabio a réalisé un film sur la préservation des captages d’eau potable grâce à l’agriculture biologique.
La France est le 1er pays utilisateur de pesticides en Europe et le 3ème dans le monde. Utilisés par les agriculteurs et les jardiniers, les pesticides sont à l’origine d’une pollution diffuse qui contamine toutes les eaux continentales : cours d’eau, eaux souterraines et zones littorales. Si aujourd’hui la consommation de produits bio est envisagée par les consommateurs comme un acte responsable vis à vis de leur propre santé et de la protection de l’environnement, la question de la préservation de la ressource en eau est un autre enjeu qui nécessite d’être mis en avant.
Le film « Manger bio, c’est bon pour l’eau », financé par l’agence de l’eau vise à informer le grand public sur la préservation de la ressource en eau et la protection des captages d’eau vis-à-vis des pesticides.

« LA CLEF DES TERROIRS »

Documentaire réalisé par Guillaume Baudin : Documentaire retraçant la vie des vignerons ayant choisi de travailler au plus proche de la nature.

« INSECTICIDES, MON AMOUR »
Une enquête de plus de 2 ans autour du problème des traitements obligatoires aux insecticides contre la flavescence dorée dans le vignoble bourguignon.

Documentaire réalisé par Guillaume Baudin

« PESTICIDES, MON AMOUR » :
Un état des lieux de l’utilisation et des ravages des produits toxiques répandus tout autour de nous. Les agriculteurs ne sont pas les seuls consommateurs de produits phytosanitaires. En France, 12 % des traitements vendus sont utilisés sur nos routes, potagers, chemins de fer, parcs, rues, jardins...

UN FILM DE ERIK FRETEL

« Un air de campagne » (court métrage)

Chanson commentée pour inciter au passage à un mode de gestion raisonné ou bio des cultures. Réalisé par FNE.

« PESTICIDES, NON MERCI »

Dès son réveil, du fait de l’environnement dans lequel il va évoluer, un enfant commence une journée à risques pour sa santé. L’eau, l’air, les aliments, les pratiques domestiques ou professionnelles sont pour lui autant de sources d’agressions par des produits chimiques. Leurs effets sont discrets car souvent cumulatifs et combinés pour se révéler par des "Maladies de civilisation", cancers, troubles hormonaux, malformations, perturbations endocriniennes, baisse de la fertilité masculine, etc. Ces indicateurs sont des signaux d’alarme qui mettent en cause les "progrès" technologiques, en particulier les pesticides chimiques. Ce document a pour objectif d’interpeller tous les acteurs du quotidien et du futur, les consommateurs, les citoyens, les professionnels, mais aussi les collectivités et les élus. Il fait un état des lieux, non exhaustif, avec des témoignages de scientifiques, d’acteurs économiques, de responsables, pour poser les problèmes et pour proposer à chacun quelques alternatives. Dans ce cadre, les situations liées aux produits "phytosanitaires" dans l’agriculture, dans la gestion des espaces verts et dans le jardinage domestique sont plus particulièrement abordées.